Musique symphonique et concertante

Emelyanychev à Berwaldhallen (Stockholm)… des hauts et des bas

lCe site le rappelle régulièrement et c’est aussi un constat que font les mélomanes les plus assidus depuis de longues années : Mahler tient…

Lucerne Festival 2025 : Neuvième de Mahler par Petrenko, tragique à la Dostoïevski.

`   L’être ne commence à être que lorsque le non-être menace l’être. Dostoïevski    Nous avons longuement développé dans notre article précédent sur ce même programme à Berlin…

Östersjön Festivalen 2025 (Stockholm) : Asmik Grigorian lunaire avec Salonen

Vagues toujours, ressac d’avant en arrière pour ce programme avec Vier Letzte Lieder de Strauss créés en 1950, derniers feux d’un genre bien révolu,…

Neuvième de Mahler par Kirill Petrenko, énergie, désespoir, néant.

On gagnera fortement à consulter sur le site « Digital Concert Hall », les extraits de répétitions de ce concert, particulièrement parlantes. Accès libre. 14 minutes. https://www.digitalconcerthall.com/fr/interview/55650–2 Kirill…

Santa Cecilia à la Scala : Sous la baguette incandescente de Kirill Petrenko

5 apr 78 “ Nun werde ich eine sinfonie concertante machen, für flauto Wendling, oboe Ram, Punto waldhorn, und Ritter fagott. Punto bläst Magnifique. Nun leben sie recht wohl, ich küsse ihnen 100mh die hände und bin                                                            Wolfgang Amadè Mozart” 5 avril…

Gatti et l'OSR au LAC de Lugano : un bain beethovénien

En écrivant cet article, nous venons d’apprendre la nomination de Daniele Gatti comme Directeur musical du Teatro del Maggio à Florence, après que la…

Gatti mémorable à Santa Cecilia

  À l'affiche, pas de musique rare ni de nouveautés absolues. Des titres du grand répertoire, tirés de Wagner et Richard Strauss, pour un programme…

Das Lied von der Erde par Daniel Harding : Quoi ? L’éternité.

Dans une courte vidéo enregistrée à l’occasion du départ de Daniel Harding et disponible sur le site de Berwaldhallen, le chef nuance et admet…

Mahler 2 par Harding à Stockholm : un enterrement titanesque

On a aimé ses Strauss, sur lesquels il est revenu régulièrement et qui étaient des voyages, des poèmes. On a aimé ses Wagner, qui…