Bayreuther Festspiele

Qui choisit l'Or renonce à l'amour

Petite histoire Voilà une production dont la distribution a varié, mais qui a trouvé assez tôt un équilibre musical avec des artistes installés durablement dans…

Une fête de la musique et de l'intelligence

Kosky à Bayreuth : une rupture Étrange aventure que celle de Die Meistersinger von Nürnberg à Bayreuth qui illustrerait presque l’aphorisme de Heiner Müller cité par…

Béatitudes et bien-pensance

Uwe Eric Laufenberg a bien compris comment capter l'attention d'un certain public ayant lu dans le célèbre Guide d'Albert Lavignac qu'on pouvait se rendre…

L'émotion à bon port

L'essentiel de ce Tristan, son rythme intérieur, tient à l'adéquation voulue et revendiquée avec les décors très graphiques de Frank Philippe Schlöβmann – eux-mêmes…

Une Walkyrie pourquoi faire ?

Une idée singulière Reprendre la seule Walkyrie d’un Ring, où Die Walküre est le point de départ de l’histoire de l’Or noir que Frank Castorf…

Le ciel peut attendre

Les décors et les costumes de Neo Rauch et son épouse Rosa Loy revendiquent un obsédant camaïeu bleu-blanc pour illustrer la société du royaume…

Tel qu'en lui même enfin l'éternité le change…

  À la recherche du temps perdu Le dimanche 24 juillet 1977, j’entrai pour la première fois dans le Festspielhaus de Bayreuth, pour assister à Tristan…

Derniers feux

Tout oppose en apparence le Golden Motel de Rheingold au décor lugubre de Götterdämmerung. On nageait dans un Rhin version piscine en plastique, environné…